Alm

Mer 8 Fév 2006 - 1:22

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Je rebondis sur les notes que j'écoute, les aspérités sonores de cette bande interminable m'ôtent le sens de la bouche entrouverte de pagaille et de puante heure. Je m'assourdis relevant les épaules du marais qui me gobe : toute la ritournelle des aurores défilant devant mes fils de remord se décomposent en triturant mes escargots malheureux. Pourquoi penser. Et marcher. Retourner le couteau vers la plaie qui mange. Jouer tout simplement en s'évadant et l'évasion programmée de ma rigolote redingote n'est que le commencement d'un ridicule asphalte endormi, je me marre.

Rit ; mais le miel n'est pas là pour moi ; je m'endors de plaisir et tu m'heures de doux leurre. Rance est la rançon. Où errance ? Où me mènes-tu avec tes cordes d'acier mouillé ? Le piège labyrinthe se referme en dédales infinis. Je glisse vers l'écrasement et je perçois ta joie macabre qui dessine des lagunes médiocres sur la ligne de mes membres envolés. Pleut. Tulipe engrimacée de répétitions orgasmées. Tu ploies et tu noies ma foi. Roi parmi mes rois de dimanche ; croît.

Jamais les auteurs malfaisants n'avaient écrasé autant de mutilité dans un si petit espace. J'ose imaginer qu'il en sera de même pour tous les ovipares déchaînés que je vois arriver au loin en flippant. Ruine.

Sam 18 Fév 2006 - 6:13

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Matragique moment, qu'il est fait pour moi ; dans tes bras, mes lèvres te diront ; ont ; oint d'un bain gras, je me penche vers le fronton de ma pensée en cet instant. Ouvertement gris, j'écris du sud où mes journées s'étirent sans cesse. L'oisillement de sainte rompt avec l'étrangeté de la putréfaction interdite qui gagne les plantons de granulés.

La tricherie est ridiculement avortée puis louée, en ces lieux de luxure remarquée, où rien ne peut s'échapper sans remorquer des cubes de chats en kiosque. Tututu, baby-baby, tu m'as vu souvent débarquer des idoles aux marques factices, démurer des stars en fonction de leurs grondements roulant sur scène. Mais jamais un haïku ne m'a heurté de plein fouet, et c'est en cela, pourtant bien sûr évidemment qu'un jour j'ai grésillé la nuit, me mouvant avec électronicité dans les immensités des cons posant face aux magazines de nus.

Regretter les sociales pentues, et pardonner à David, lui administrer rudement les brimades brûlantes en terminant une acidification latente. German seems so obscure. Sainte mascarade de mes attentes ou pure guillotine sans signification ? Seuls décideront les obscuritaires consciencieux, eux et leurs mitaines mièvres.

Regarder et bruire et truire ; striction de mes pensées, mes sentiments se broient de ce qu'ils croient vivre en respectant la clarté de ma bouche ouverte à l'aurore. Beau, réel, et si poignant ; un tourbillon extatique de piètre cruauté terrassée !

Sam 25 Mar 2006 - 2:07

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Me voilà pris dans un flot neurophonique, neuro-phono-automaticotristique. Et les maux menthe ombent. Puissance délivrée égale preuves sans théâtre bruyant. "Le théâtre du bruit prouve notre puissance". Ok. Next. I will not tell. L'imperméabilité de ces ondes explosives balance un cri assourdi au milieu d'une concentration terrible de basses de base. Une sorte de coup continu qui entartre l'audition des pétés de ruido.

Répétitivo-anarchique, telle est cette musique doucement récitée. Remplie d'invectives avariées, elle se répand comme la marmaille marmeladée de façades constructives. Des commentaires passés dont on jouirait sans problème, et qui sèment les graines d'un conflit autre : décalé vers l'absolu thé, infusé rapidement sans consultation de solde. En face, un croupissant qui te rate en rade ; oh ! qu'il est haut !

Roupilante de paillettes émiettées, ma conscience m'échappe en filets incongrus dont les suites rocambolesques se dilatent infiniment vers la non-consistence, vers Mars en criant, ou qu'on le détruise suite à un déséquilibre de l'orage qui le guette : psychotic.

Jeu 6 Avr 2006 - 0:29

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Sixte, in da movement. Chats, pelles et rateaux s'entremêlent et donnent à manger aux bambins ignifugés : leurs bavoirs sont sans ratures ni crêpes sans goût ; plus que de la confiture sans coulure, et le beurre s'en ira sans problème : il faut absolument rouler les travailleurs qui viennent en masse crier et pleurer auprès des bébés affamés. Le problème se crépite et brûle les doigts du condamné au bagne.
Alexandre est parti en cendre ainsi, cramé et argenté par le sang qui nourrit, il aura vu de nombreux sabres tranchants, mais tous lui auront apporté la moitié de son salaire canonisé. Un plus pour un jeune Troyen qui aura tenté tout ; t'es tout décrépi, mon pauvre vieillard, mouille ta chemise et saute en l'air ! Mêle ton mélo, pèle tes paumes ridées et dent sans cercle, avec nous.
Un banc, des amants, des morgues héritées de la pluie précédente : une haine sans fin à lancer vers la boule, y méditer un palan et redonner à ses arts ce qui leur appartient ; un peu d'eau rapide, en pyramide et en douces soeurs : des jumelles qui s'écroulent sous la pression des prés sous le vent des prunes adulées.
Et des larmes, envolées aussi, aux tulipes ; carreaux lavés de ta patience : c'est ton maître qui en a décidé ainsi, et qui en décidera toujours, car les deux lignes qui te donnent vie se referment souvent, on t'oublie ; dis-moi combien t'ont lue et nous verrons comment aborder l'autorité du poète porc ; t'es à l'infini, ma pauvre : qui ira te chercher là-bas, c'est ce que tu vulcanises, oui !

Dans-la-rue, ruons-nous sur les entremises de mon copinage en C : il y a beaucoup à faire, à raconter sur mes pieds, qu'aux nanards, on pourrait pardonner ; ce sont de bons bouts de films après tout (ce qu'on a fait, c'est vexant). Mais la formation en déplacement t'y habituera souvent !
Poule sans oeufs, tu crains ; tuque, reins, épaules brisées entre deux vestes impeccables. Eussions-nous fait ce qu'il nous était demandé, les rafales nous eussent atteints. Ta mare de boue me rigole au nez... Ris ! Que tes ongles te crèvent la peau à jamais, rouillant tes articles, hululant tes oraisons de saison !
Un mental aux possibles raclant l'exaltitude.

Oreille gauche : bourdonnement incessant qualité de beat bruidonnant, je m'y enfonce avec douleur et le miel fond de plaisir musical, coule hors de la paroi pour décorer mes amygdales. Mais Lopée n'est pas au rendez-vous, tout ça perd de son sens et je me rends. Cons te querellent pour des broutilles, broutent ton crâne, ce sont des poux affamés qui parlotent alors qu'il y a des milliers d'oiseaux bien plus beaux à observer ; on devrait leur cramoisir, un jour, le derrière des hanches, pour y insérer de plus amples greffes de cerf volant.

Oreille droite : rien.

Jeu 5 Oct 2006 - 13:45

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Scie l'esprit de ma trogne ne gagne que le concours des idiots, je m'en irai dépité, car j'espérais un gros lot. Je suis un con par tes mots, inca qui ment et qui s'enlève un bout de rêve pour rire à la mission des trolls, et les elfes se marrent.
Prunes aux raisins, meilleur que la guimauve ? Les premiers ont gagné le droit de se planter en des champs provisoires qui réitèrent la brome-attitude des ions jubilés. En une saison de pluies partagées, le commerce du chanvre est d'une réussite exemplaire, pour les tocards comme pour les habitués de la miourde.

Avancez, ringards et bêtes de toutes sortes, rigolez face à moi, crachez-moi à la gueule pour réclamer votre part de rien votre vide. Votre vie de bâtard vous mènera à moi, et moi seul votre monde votre immonde salut.
Ahah, crutilez sans peine, cramoissez mon pilote ! Mes indemnisations ne sont que des volets en vos biles choisies.

Mer 1 Nov 2006 - 10:38

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Sans rider l'éreinté qui rigole au sommet, je voudrais particuler l'enveloppe de mes sens, pour redonner un grain de fraîcheur à l'auriculaire éculé qui me sert de vélo. Pourquoi, c'est si grand et tordu à la fois, j'en dirais des mésanges sans voix, pour redonner à l'origine des merles la puissance incontestée de graveleuses ombelles. C'est tout simplement la bru de mon pourtour qui réclame la bise du Nord, en fourvoyant l'inérectilité de son coeur elle a donné son âme à déguster. N'y voyez rien d'imagé, je préfère enrager la tournure de son crémin.

Journalièrement j'ai juté, geint mille fois et frotté mon crin cabossé pour darder les gravillons de mon désespoir, j'ai goûté l'admiration des amiraux sans le sou, soutiré des sonnettes sous le sifflement de centaines de serpents inconditionnels. Honni, banni, il a porté la remise de grouillements pour s'enrichir et asséner l'éclatement de mille roches ensemble : l'articulation ne s'en est pas frustrée, elle a dévié l'absolution des gargouilles gargarisées.

Jeu 16 Nov 2006 - 14:09

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Dans la brume d'un soir sans contraintes, je me perdis parmi les perdrix axées sur les donzelles de la veille ; les koalas sans pitié font groupir les houles terrifiantes sans moule sans humiliation sur grande forteresse et les mapliniens se terrent de pouvoir surprendre la grotte à la mer de noms sans prénoms mais dispos pour l'arrestation.
D'une traite sans droïde, la multitude s'engraisse et se croît à l'abri sans pourfendre le cabanon des envies multiples, les joutes juives aux joues joufflues sans vérité sont sonnées mais s'immiscent silencieusement sans mictions. S'il blanchit la terrasse le chat chuchote à qui veut moudre du plâtre que le bavoir bidonné s'enregistre le bedon avec un Mickaël qui n'est plus tout jeune mais croupille parmi l'utilitaire goranais de la mirale admidonnante.

Sous les braises du houblon, les perles de guigne essaient de louvoyer la première de toutes les perdues, l'aoûtienne siffleuse qui gravit la constantation vurinescente.
Poule matrimoniale, je connais ta souplication, et ton aide herpécieuse ne m'atteindra que quand l'aura de troncs horizontaux déambule in the black side.
Puisque lopin de terre, moule sans tête sera bientôt un do à l'IT (Intelligence Terminale). Puis l'aube d'un canon spécial videra l'espace réservé et la mermoire dominera l'essence ennuyée.
Sans détour, l'immeuble peut remballer l'auriculaire, et le poulpe touriste tremble sans vie face à la commune ôtée de la carte -- car on l'a brûlée sans flammes, on l'a dés rangés en colonne prête à jouer.